[amazon_link asins=’B07DNQ5JZD’ template=’CopyOf-ProductAd’ store=’casqvrcom-21′ marketplace=’FR’ link_id=’efdc3da2-d064-4f13-a9e6-63d3f9382002′]Depuis plusieurs années, la licence Wolfenstein a su trouver son public et chaque opus est acclamé par les joueurs et la critique. Nous avons été emballés lorsque Bethesda a révélé le développement d’un épisode exclusif sur PC et PS4 à destination des casques de réalité virtuelle PlayStation VR et HTC Vive. Wolfenstein: Cyberpilot est disponible depuis cette semaine au petit prix de 19.99€ en même temps que le nouveau jeu non-VR, Wolfenstein: Youngblood. Voyons si ce premier épisode VR est une réussite.

Test réalisé sur PlayStation VR et PS4 Pro à partir d’une version fournie par l’éditeur.

Paris occupé

Pour ceux qui n’auraient jamais entendu parler de la licence Wolfenstein, le parti-pris scénaristique est le suivant. Les nazis ont remporté la seconde guerre mondiale et contrôlent toujours l’ensemble de l’Europe grâce à leurs technologies avancées. Wolfenstein: Cyberpilot se déroule à Paris dans les années 80. Bien implantée, la résistance a réussi à pirater les systèmes nazis et à s’emparer de différentes machines de guerre pour les retourner contre l’oppresseur. C’est là que vous entrez en action en contrôlant ces machines à distance depuis un cockpit virtuel.

Le jeu comporte trois missions pour trois machines différentes. Les habitués de la série reconnaîtront le Panzerhund, un espèce de chien robot cracheur de feu, le drone permettant de pirater des ordinateurs et réduire en poussière des humains et enfin la Zitadelle, un énorme robot bipède avec une mitrailleuse, des roquettes et un champ de force.

En avant pilote

Avant chaque mission, il vous est demandé de faire quelques manipulations basiques dans le centre de contrôle comme assembler des pièces ou remplacer une carte électronique. Un mini tutoriel pour prendre en main chacune des machines débute ensuite avant de vous propulser dans les rues de Paris.

Le test ayant été effectué sur PS4, les développeurs ont laissé le choix d’utiliser la Dualshock 4 ou les PlayStation Move. Nous avons préféré le pad puisque les sticks directionnels facilitent grandement les déplacements. Cela est en revanche un peu bizarre lorsque vous devez attraper un objet ou appuyer sur un bouton. Une nouvelle fois, on regrette l’absence de contrôleur VR dignes de ce nom sur PS4.

Le gameplay ne propose rien d’exceptionnel puisque les missions ne laissent pas vraiment le choix à l’exploration. Elles sont de type « couloir » et plutôt très faciles. Les munitions sont illimitées, les réparations aussi et les points de sauvegarde nombreux au cas où vous vous feriez surprendre. Côté scénario également, Wolfenstein: Cyberpilot ne propose pas vraiment de fil rouge intéressant pouvant tenir en haleine le joueur et la rejouabilité est nulle. Comptez 1h30 à peine pour compléter entièrement le jeu.

Verdict : 5/10

Dommage, c’est le mot qui nous vient en tête après avoir terminé ce Wolfenstein: Cyberpilot. L’idée était là, la réalisation plutôt bonne mais le jeu est beaucoup trop court et ne présente pas vraiment de challenge. En l’état, il s’agit d’une excellente démo mais pas plus. Les développeurs auraient tellement pu faire mieux avec différents modes de jeu, plus de machines et un scénario plus complet.

NOTATION
TEST Wolfenstein: Cyberpilot
5
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